Sans verser mes larmes
Un film de Foued Mansour
Long-métrage Fiction
En développement
Synopsis
Nina, 17 ans, vit avec sa grand–mère dans un quartier populaire. Adolescente au tempérament affirmé, elle aime Adel, 24 ans, garçon doux et attentionné, mais âme en déshérence. Le garçon enchaîne délits mineurs et brefs séjours en prison, jusqu’au jour où une nouvelle circulaire le condamne à une peine de bannissement du territoire.
Inconcevable pour Nina, qui refuse d’être séparée de l’homme de sa vie. L’adolescente en mal de famille va alors entrer dans une lutte qui va la dépasser et la changer à jamais.
Nina, 17, lives with her grandmother in a working-class district. A teenager with an assertive temperament, she loves Adel, 24, a sweet and caring boy, but a soul in disarray. The boy commits a series of minor offences and short stays in prison, until a new circular sentenced him to banishment from the country.
This is inconceivable for Nina, who refuses to be separated from the man in her life. The teenager in need of a family will then enter a struggle that will overtake her and change her forever.
Équipe
Scénario et réalisation
Foued Mansour
Financement
Avec le soutien du CNC – aide au développement, de l’aide à l’écriture Fonds Images à la diversité du CNC, de l’aide à l’écriture de la Région Grand-Est et de l’aide au développement Hauts-de-France Pictanovo.
Lauréat Beaumarchais SACD
Le réalisateur : Foued Mansour
Après un DEUG d’histoire, Foued Mansour arpente les plateaux de tournage quelques années avant de se lancer dans la réalisation en 2008 avec La Raison de l’Autre, court-métrage qui traite du questionnement d’une jeune travailleuse sociale face à la situation d’un érémiste. Le film remportera de nombreux prix et conclura son parcours par une nomination au César du meilleur court-métrage en 2010. Il creuse ses thèmes de prédilection avec ses films suivants : Un homme debout (2011), La Dernière Caravane (2012) et Le Chant d’Ahmed (2018), tous multiprimés et nommés aux César.